La méditation en famille : ce que nous apprennent les chiffres
Depuis 2019, nous accompagnons des familles dans leur découverte de la méditation. Les résultats que nous observons ne sont pas spectaculaires du jour au lendemain — mais ils sont bien réels quand on regarde sur plusieurs mois.
Notre approche
Nous ne promettons pas de miracles. Juste un accompagnement régulier avec des exercices simples que même les plus petits peuvent faire. Certaines familles trouvent ça utile, d'autres mettent plus de temps.
Ce qu'on mesure
On suit surtout la régularité des pratiques et les retours spontanés des parents. Pas de formules magiques, mais des observations concrètes sur ce qui marche ou pas.
Des parcours variés
Chaque famille avance à son rythme. Certaines voient des changements en quelques semaines, d'autres prennent six mois avant de vraiment accrocher. Et c'est normal.

Ce que nous disent six années d'accompagnement
Familles suivies depuis 2019
Poursuivent après 6 mois
Note moyenne de satisfaction
Durée moyenne par séance
Les chiffres donnent une idée, mais ils ne racontent qu'une partie de l'histoire. Derrière chaque pourcentage, il y a des moments de fatigue, des abandons temporaires, puis parfois des retours inattendus.
Ce qui ressort le plus des retours qu'on reçoit ? C'est moins le nombre de séances que la régularité qui semble faire la différence. Une famille qui médite 10 minutes trois fois par semaine obtient souvent de meilleurs résultats qu'une autre qui fait des sessions d'une heure une fois par mois.
Les parcours qui nous inspirent
Au-delà des statistiques, ce sont les histoires individuelles qui donnent du sens à ce travail. Voici ce que Léonie nous partageait en mars dernier.
J'étais sceptique au début. Honnêtement, faire méditer mes deux garçons de 6 et 9 ans me semblait impossible. Les premières semaines, c'était compliqué — ils gigotaient, riaient, n'arrivaient pas à rester concentrés. Puis un soir, mon aîné m'a dit qu'il voulait refaire l'exercice de respiration avant de dormir. Ça m'a surprise. Maintenant, quatre mois plus tard, c'est devenu une routine qu'ils réclament eux-mêmes. Je ne dirais pas que tout est parfait, mais les moments calmes sont plus fréquents.